Recherches "gigots," : Scènes les plus récentes - 16 scènes trouvées

Dépêche toi, on nous attend pour le souper. La cocotte doit encore se grimer et se couvrir de son costume tailleur mais lui ne l'entend pas de cette oreille. Captivé par l'odeur dégagée par sa fente il plonge une langue gourmande dans sa foufe et aspire l'air entre ses fesses, dégustant le moindre repli de chair et la légère dépression de son cul. Excitée par ces chaleureux touchers, la pouf cède au type et ouvre ses gigots tend des guiboles emballées dans de diaphanes bas de nylon noirs retenus sur ses cuisses par de fragiles jarretelles. Il s'attarde longuement sur ses orteils à travers le bas et grimpe jusqu'à son entre jambe pour brouter la nymphe de sa foune. La bonasse se laisse aller aux lèvres agiles de son mec. Alors qu'il s'étend à même le plancher elle lui donne son cul à triturer en se séant à cheval sur sa bouche. Comme son mandrin est maintenant à sa portée, elle n'a qu'à s'incliner pour la cueillir entre ses lèvres. Elle est si stimulée par la vulve qu'il lui dévore à demi asphixié, qu'elle lui donne la fellation de sa vie. Elle astique le chibre du mec et lui fait remonter la sève de la base des baloches jusqu'à la tête de la tige. N'y tenant plus il lui expédie le contenu de ses testicules au sillon du cul. Cette dame a les plus beaux nibards et les plus belles fesses du quartier, comment y résister même si on est attendu pour souper ?

De toutes les couleurs, fuchsia, rose, noir, roux, brun, les plantes ont besoin d'être arrosées. Celle-là encore plus que les autres. Sa jolie petite gueule de suceuse, ses grands yeux concupiscents, ses pommettes saillantes, tout comme ses boules dans un soutien-gorge léopard ou ses fesses tout au bout de gigots ficelées dans des bas en maille, ne laissent aucun doute sur son besoin, voir son dessein d'être arrosée par son copain qui aime beaucoup trop les jolies plantes pour la négliger, ne serait-ce qu'un instant. Personne ne pourrait passer à côté d'une si jolie plante sexuée. Une si jolie paire de nichons dont les aréoles laissent émerger une espèce de pistil si rare, ne peut laisser personne insensible, ni même un tel regard à la fois fragile et sérieux, une telle gueule prête à boire la semence de la nuit ou de telles mains qui s'activent ingénieusement à préparer le zgeg qu'elle va s'enfiler tout au fond du ventre, auquel elle va s'accrocher quand la tempête va la secouer hors d'elle-même et l'arracher de ce monde terre-à-terre. Non, faut pas oublier de l'arroser…

Entre sa chevelure éclatante et ses épaules frêles, cette brune a une bonne tête. Mais le reste est encore plus attrayant. Elle se prête aujourd'hui à une séance de baise à l'objectif avec son copain. Il nous fait tout de suite les présentations : sein droit, le plus gros et le plus beau, sein gauche, le plus charnu et le plus goulu. Les deux se laissent triturer de la bouche et des dents avec le même plaisir. Voici aussi, cachée derrière ce mince voile, la moule rose de sa petite chérie, une foufe qu'on peut atteindre aussi bien quand la naïade décroise les gigots que lorsqu'elle se tient debout devant vous… Humm, que du bon. De son côté l'amant possède la baguette qu'il faut pour obturer complètement la bouche de sa belle. À genoux devant lui elle agite sa belle chevelure en picorant la baguette du copain. On peut encore mieux apprécier ses rondeurs quand en levrette sur le sofa elle laisse la grosse baguette pénétrer son minou. Étendue sur le côté, elle craque encore mieux se faire caresser la poitrine offerte à ses deux mains et embrasser dans le cou pendant que sa baguette lui donne du plaisir. L'individu préfère quant à lui les positions où il la domine et peut la pénétrer très profondément par la foufoune ou par la bouche. C'est ainsi qu'elle se retrouve souvent debout penchée vers l'avant ou le dos collé au sol pendant que lui est assis un peu plus haut et qu'il lui laboure les entrailles. Voilà vous savez tout de ce charmant ménage.

Cette vidéo est toute en douceur, comme un champ de blé caressé par les vents. Nos deux salopes ont les poils de la couleur des blés, la chambre et les tapis sont dans l'harmonie tonale qui nous met en appétit. On a le goût de leur manger les derrières et les flotteurs, de leur planter une méga tige dans leur vagin mignon. C'est elles qui auront tous les plaisirs du déshabillage jusqu'à la petite bille qui leur tient lieu de clitoris. Du bout de ses obus lourds, de ses lèvres tendres, de ses gigots, l'une dira qu'elles sont toutes à sa compagne. Prend garde à toi, lui commandera cette dernière, dont les blondinettes mèches n'atteignent pas les rotoplos, si je t'aime, tu ne pourras plus t'échapper. Entre gigots emboîtées l'une dans l'autre, elles se donnent de grands frissons au contact des lèvres douces de leurs vulves et de leurs clitoris. Des heures durant elles se donnent du plaisir, explorant les replis de l'autre, caressant ses seins de la main et des lèvres tendres, goûtant la nymphe de leurs langues dardés et émollientes, il n'est pas de plaisir plus grand que de caresser le corps d'une meuf ouverte comme un beau brin de blé…

Dans l'atelier où il travaille avec son vieux père, Albert a peu d'occasions de voir débarquer des chattes en chaleur aussi délurées. Celle-là est venue dans l'atelier sous prétexte de se faire tailler un meuble sur mesure. La curiosité l'a amenée là quand elle a aperçu ce beau jeune homme au bar tabac le midi. Elle le rejoint tout en haut de l'escalier dans une pièce qui n'est pas finie et où sont éparpillées quelques chevalets. Aussitôt qu'il l'aperçoit, le jeune homme s'empresse de l'accueillir. D'une langue charnue, il lui sert un baiser brûlant qui la laisse sur les genoux, juste à la hauteur de sa baguette, qu'elle prend dans sa bouche dès que le mari a baissé son froc. Puis le vieil homme est entré et séduit par la scène, a détaché un bouton ou deux pour livrer passage à sa baguette toujours en forme. La poule n'a pas hésité à s'en emparer et à s'en occuper comme de celle du jeune homme, penchée au dessus d'un chevalet qui place dans une position avantageuse son beau petit cul et sa foufe en feu. À tour de rôle, elle se fait le jeune et le vieux et les deux types usent et abusent de tous ses orifices largement offerts entre ses gigots écartées. Et on la besogne bien, enfonçant des baguettes et des doigts adroitement, râclant l'intérieur du vagin ouvert de la pouf, lui massant d'une main experte, nichons et fesses où s'enfoncent les tenons et mortaises enduits d'une bonne colle blanche qui soudera leur relation pour longtemps!

Dans les rues d'Amsterdam il y a des individus qui cherchent l'âme sœur et la trouvent souvent. Ces deux types se sont rencontrés par hasard alors que le premier cherchait un coach pour faire de la gonflette. Dès les premiers contacts ils ont su qu'il se passait quelque chose en eux. L'un a saisi les intentions de l'autre dans la raideur de sa baguette. Dès qu'il l'a mise dans sa bouche, il l'a aimée. Dès qu'il l'a déshabillé, il a aimé le corps de ce pervers. L'autre lui a retourné ses attentions avec la même intensité. Très tourné vers la pénétration anale, il s'est tout de suite occupé de son vagin du cul et tous deux se sont pâmés pour les exercices qu'ils ont donné à leur sphincters et à leurs cavernes. Chaque session de musculation en privé, s'est terminée par une séance de baise où chacun y est allé de son attirance pour le corps de l'autre. S'ils n'ont guère fait gonfler leurs pectoraux et leurs biceps, leurs gigots et leurs fessiers ont bien travaillé. On pourrait dire qu'ils ont fait du cardio et concentrés leurs efforts sur le style.

Cette beauté était justement en train de faire le rêve qui lui donnait ce teint rose et cette fente humide que son ami aime tant. Elle s'imaginait cajolée, gigots largement ouvertes, sous son pyjama de soie par une bouche agile et experte qui s'en prenait à sa petite fente et à son clito raidi et sorti de son petit capuchon quand s'éveillant doucement elle constate que ce rêve est réel. Son prince charmant a posé sa bouche sur sa fente lisse et il savoure sa meuf qui lui offre les odeurs de la nuit dans un bouquet excitant. Sa tige s'est dressée, il a remonté son pyjama et a saisi ses loches endormis dans ses mains. Aussitôt, la circulation fait son oeuvre, il se sont durcis et leurs bouts se sont gonflés. La belle a réclamé la tige de son amant. C'est la première chose qu'elle mange aujourd'hui et elle a une faim de louve. Et l'étalon sent monter en lui cette soif de sa moule qu'il rêve de racler en lui arrachant les mots du plaisir. C'est quand elle le chevauche que la succube se sent amazone, qu'elle tient son membre viril dans sa main, au bout de la laisse. Et elle le cravache à coups de reins. Ils s'enfoncent tous deux dans son rêve à elle.

On ne cesse de vanter les mérites de la médecine spécialisée. Voici une autre preuve de sa supériorité en matière de refoulement sexuel. Une vulve en chaleur blonde est invitée à passer au cabinet du spécialiste qui doit la débloquer. Séance de déshabillage en règle, la cliente peut garder ses bas et ses souliers par contre on enlève le slip. Le spécialiste prend les mesures d'usage, puis, devant la cliente docile, présente sa baguette comme si c'était tout à fait naturel après qu'elle eut elle même dévoilé sa paire de rotoplos menue et écarté ses gigots sur une foufe rasée et un petit trou du cul bien sombre mais tout à fait attirant. La foufoune en chaleur se découvre un intérêt pour ce corps étranger et c'est avec attention qu'elle en découvre les qualités érectiles. Poursuivant son examen, le spécialiste enfonce ses doigts pour juger de l'état de la moule de sa cliente. Tout est en ordre, elle peut le recevoir par devant comme par derrière. Elle s'empale sur la baguette du type et s'agite, c'est par le cul d'enfer qu'elle veut être prise par ce pénis de la région étrangère. Il y pénètre facilement et va et vient au grand plaisir de la cliente qui est beaucoup moins atteinte qu'on ne le croyait au début. Quelques allées et venues dans cet étroit couloir produisent leurs effets et c'est une bonne crème vitaminée qu'elle rapportera sur les arrières-trains, en souhaitant que ce soit suffisant pour sa cure!

Dans un loft, un ménage interracial nous offre une bonne partie de baise. Elle est noire et lui blanc, un contraste magnifique. Elle c'est une splendide naïade à la peau noire et à le fessier gironde, ses flotteurs sont superbes avec des aréoles d'un brun profond, qui pointent vers le haut. Lui c'est un bel amant, grand, athlétique, doté d'un sexe qui comblerait d'amour beaucoup de femmes. C'est donc par une turlute que vont commencer leurs ébats sexuels, elle est douée, cette beauté noire, avec sa bouche, elle asticote avidement la baguette de son compagnon de jeu, lui bouffe les boules, et après cette mise en forme elle s'allonge sur le lit, écarte bien grand ses gigots laissant apparaître une petite chatte à la toison tondue, n'attendant plus qu'a accueillir le membre viril impatiente et tendue du mâle en rut. Elle se retourne et lui offre son postérieur bombé et confortable pour une pénétration en profondeur. Ils essayent quelques positions, avec une préférence pour la petite cuillère car elle permet de se prodiguer en même temps des caresses aux organes génitaux, ce qui intensifie le plaisir des deux amants qui gémissent bruyamment. La chatte en chaleur a envie de sentir le bouillon chaud de son amant se répandre sur son cul d'enfer et c'est avec plaisir qu'il s'exécute en se masturbant avant de laisser jouir son bouillon.

Sur un banc public, un garçon pensif attend le miracle. Il est seul mais son imagination l'emporte vers le paradis. Il imagine le plus beau des gars, nu, la baguette déjà raidie, qu'il tient dans sa main. S'approchant de lui, il l'embrasse avant de saisir la baguette dans sa main pour la mettre entre ses lèvres tendres et la sucer longuement. C'est un beau spécimen, il a une odeur musquée, des gigots musclées, un ventre ferme et il apprécie les caresses de son partenaire et il se dresse et de toute sa hauteur lui saisit la tête. La baguette immense paraît encore plus grosse à deux pouces de ses yeux, il éprouve une forte impression… et désire ardemment cette baguette dans son cul. Il s'est à poil lui aussi et agenouillé sur le banc il tend ses fesses dans l'air souhaitant recevoir le chibre raide de son partenaire au fond de lui. Maintenant assis sur lui, il s'enfonce, la douleur fait place à une sensation de démangeaison que seule une vigoureuse friction pourra soulager. Il dirige le mouvement, solidement enfilé sur la baguette du type, il l'enfonce plus creux encore, comme si c'était possible et son corps et sa baguette sont bandés dans l'effort. Ce banc se prête à toutes les positions qu'il adopte facilement avec son ami imaginaire. Lorsqu'il sortira de sa torpeur il aura du mal à s'expliquer comment tout ce bouillon a pu se retrouver sur son abdomen…

La scène se passe à l'intérieur d'un bateau mouche sur un canal d'Amsterdam. À travers les grandes vitrines sous l'œil des voyeurs involontaires, deux chattes en chaleur s'embrassent. Prises d'une folle envie, elles se masturbent les gigots et les flotteurs à travers leurs vêtements qui les gênent manifestement. Bientôt, la brune et la blondasse en viennent aux contacts plus intimes. Une bouche trouve le chemin de la moule de l'autre. Les chemisiers s'ouvrent sur des boobs menus aux pointes érigées. Sur les banquettes lustrées et collantes elles tendent des corps parcourus de frissons. Elles se font du bien d'autant qu'elles sont émoustillées par la présence de tous ces gens qui agitent des caméras autour d'elles. Leurs baisers brûlants se détournent de leur bouches pour lécher leurs entre gigots parfumées. Pendant que la blondasse se fait bouffer le postérieur par la brunette, ses doigts titillent son clitoris, avant d'y mettre sa langue charnue, dans un 69 très cochon. C'est une véritable fête des sens, gigots ouvertes elles se chevauchent, une moule sur une bouche, une langue charnue dans un minou, des doigts qui courent partout, dedans, dehors jusqu'à ce qu'un orgasme fulgurant les emporte au coucher du soleil et qu'elles réalisent qu'elles ont donné un magnifique spectacle qui en inspirera plus d'un au cours de la soirée!

Elle s'ennuie cette brune tatouée avec ses lulus de salope. La femme joue la gonzesse dans son appart où elle se croit seule, elle prend des postures plus que lascives en dandinant des arrières-trains dans une combinaison échancrée rose fuschia. Elle s'entraîne à faire une fellation à l'aide d'un gode en verre transparent, le suçant, le léchant avec gourmandise tout en se pinçant les aréoles devenus durs d'excitation. Son amant qui passait par là décide de se mêler à cet étrange duo et enfonce doucement le jouet dans la moule bien ouverte et humide de la ténébreuse, elle craque ce genre de pratique sexuelle et ouvre le jeu en prenant dans ses mains et en léchant le gland et la pine du beau brun, elle lui insère en même temps dans l'abricot du cul son jouet préféré et il semble raffoler du contact froid du joujou en verre enfoui au plus profond de lui. Elle se fait défoncer son petit minou tondu, elle lui saute au cou le ceinturant de ses longues gigots pour sentir cette belle pine lui cogner le fond du con. Comme c'est une femelle assez dominante, elle s'harnache de son jouet intime ceinture pour prendre le popotin de son jules par derrière, il en redemande et viens s'asseoir sur la fausse bite tout en se secouant énergiquement le poireau jusqu'à le plaisir charnelle et l'éjaculation faciale finale.

Quand vous aurez vu Gina, Lola et Brigitte se lécher la moquette, vous aurez le goût de vous mêler à leur danse. Gina c'est la châtaine aux gros tétons et aux fesses de déesse. Lola c'est la ténébreuse pétulante qui ne rougit que du bout des loches et Brigitte c'est la blonde intello qui ouvre ses gigots aussi large qu'un lourd traité de philosophie. Quand ces trois là se niquent, ça fait des étincelles. Elles sont incapables de garder un vêtement sur leur corps et encore moins sur leur poitrine ou leur fesses. Dès qu'elles aperçoivent un bout de sein ou une lèvre, voire une bille, elle n'ont de cesse qu'une fois qu'elles l'ont en bouche. Ce sont des tastes popotins de première, toutes les trois. Qu'on leur présente une bonne pine, aussitôt elles se transforment en chiennes enragées. Elles engloutissent la bite jusqu'à s'étouffer avec. Elles se le place entre les valseuses et se font revenir longuement avec, tout en grignotant un autre pieu ou un sac à croquignolles qui se présente à portée de la bouche. Mais la pire c'est Gina. Elle peut se prendre trois pines à la fois sans tiquer. Une vraie pro. Elle emballe le membre chibre dans son abricot, dans son popotin et dans sa bouche et s'agite d'un mouvement qui fait aller et venir les trois alternativement. Éventuellement elle s'en prend plein la face. Il faut dire qu'elle l'a bien cherché.

Depuis qu'il a rencontré Sandrine, Alain n'est plus le même. Il croyait n'aimer que les gonzesses mais celle là, quand elle a sorti le zgeg qu'elle cachait dans ses jupes, lui a fait découvrir un monde qu'il ne soupçonnait même pas. La belle face de Sandrine, ses belles clavicules volontaires, des loches à faire bander un éclusier, des hanches prometteuses et des culs fortes sur des gigots musclées, voilà ce qui l'attirait chez la poulette qu'il avait rencontré. La première fois qu'ils l'ont fait, quand il a vu sa quéquette, il a d'abord été surpris puis quand il l'a mise dans sa bouche, qu'il lui a saisi un rotoplo, et mis un doigt dans le cul, alors il s'est retrouvé en pays de connaissance et le reste s'est fait tout seul. Baiser cette pute lui apporte un plaisir qu'il n'a connu avec aucune autre. Sa tige est meilleure qu'un petit bouton, elle peut lui mettre dans le fessier et lui procurer des sensations nouvelles. Alain est fier de sa meuf et quand la nuit tombe sur eux, il s'en délecte jusqu'au matin.

Cette cocotte vous fera venir comme pas une. Décontractée, elle porte une tenue camo qui ne cache rien de ses jolis flotteurs et son cul rebondi. Ses longs tifs encadrent un visage juste ce qu'il faut de pervers et une bouche lippue qui promet un va et vient soyeux du pieu sur la langue. Et elle sait y faire la chienne. Voyez là décapiter le gland sur la longueur, l'ensaliver, lui cracher dessus pour mieux le reprendre. Regardez le se mettre entre ses gigots longuement jusqu'à ce qu'il cogne. Sentez la pointe de ses loches se durcir pendant qu'elle se fait nique. Voyez son visage détendu se tordre à mesure que son plaisir grandit. Laissez vous captiver par la cambrure de ses hanches alors qu'il la redresse vers lui les paluches collées à sa paire de nichons, le souffle court, entrer en transe sous la traction de son vit puissant. Voyez comme elle savoure chaque goutte de crème qu'il dépose sur sa langue et dans sa bouche. C'est une méga perverse comme il ne s'en fait plus.

Se retrouver au plumard avec un aussi beau mari a jeté Kamal dans un grand désarroi. Incapable de se concentrer il suçote et bécote sans y mettre toute la conviction et l'expérience nécessaire. Daniel a beau le masturber, se laisser faire, rien n'y fait. Une idée ! Si tu mettais un masque tu pourrais faire mieux. Aussitôt dit aussitôt fait. Les résultats ne se font pas attendre. Devenu aveugle, Kamal tourne ses sens vers le toucher et le goûter et devient une véritable pompe à pine. S'aidant des deux paluches il fouille l'arrière-train de Daniel astique et se laisse astiquer, défonce et se laisse défoncer, sursautant au moindre contact sur sa peau, sur son zob, sur ses fesses. Daniel de son côté apprécie cet aveuglement temporaire et détaille chaque recoin du corps parfait de son mec : ses fesses d'abord mais aussi ses gigots, son abdomen plat et athlétique, ses membres athlétiques. Certaines inhibitions tombent quand on peut observer à la dérobée et c'est dans un beau concert de grognement que les deux s'épanchent l'un sur l'autre.