Le patient anglais

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Description

Il y a quelques temps, cet hôpital a reçu un garçon atteint d'une bien étrange maladie. La peau de sa face était recouverte d'une plaie étrange et ses yeux figés dans une expression horrible. Pourtant quand les soignantes s'en approchaient, elles étaient prises d'une soudaine attaque d'érotomanie. Nous les viment un jour qu'elles allaient voir aux besoins du patient. En pénétrant dans la chambre elles furent prises d'étranges frémissements telles qu'elles commencèrent d'abord par dégrafer leur corsage. Puis inspectant sous la couette, elles se furent projetées l'une vers l'autre et commencèrent à se palper les couilles, à se fourrer des doigts dans la bouche, à se nounouniafer. Elles s'en prirent ensuite au mec catatonique dont le zob d'amarrage étaient bandée non stop. Elles le sucèrent et l'engloutirent à deux jusqu'à l'éveiller et à provoquer en lui une tension sexuelle qu'on n'avait jamais vu. Il culbuta la première meuf à sa portée et lui défonça le rectum du cul à grand coup de mandrin, lui arrachant des cris de jouissance qui excitèrent l'autre encore plus. À son tour, il la saisit par la taille et la piqua profondément provoquant en elle la même douleur. C'était horrible. Elles semblaient incapables de s'arrêter. Aussitôt qu'une brèche était libre, une bouche s'y jetait. Aussitôt que la l'épée était hors du trou noir de ces bêtes, deux gorges s'y accrochaient comme pour la siffler complètement. Et à la fin, dans un cri rauque, l'étranger s'était vidé les boules sur leur visage. Les garde-malade obtinrent un congé de plusieurs jours et elles furent remplacées par d'autres qui se croyaient capables de résister au curieux virus du bel étranger.

Plus de scènes sur les thèmes Fétichistes, Bizarre, Halloween

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Il y a quelques temps, cet hôpital a reçu un garçon atteint d'une bien étrange maladie. La peau de sa face était recouverte d'une plaie étrange et ses yeux figés dans une expression horrible. Pourtant quand les soignantes s'en approchaient, elles étaient prises d'une soudaine attaque d'érotomanie. Nous les viment un jour qu'elles allaient voir aux besoins du patient. En pénétrant dans la chambre elles furent prises d'étranges frémissements telles qu'elles commencèrent d'abord par dégrafer leur corsage. Puis inspectant sous la couette, elles se furent projetées l'une vers l'autre et commencèrent à se palper les couilles, à se fourrer des doigts dans la bouche, à se nounouniafer. Elles s'en prirent ensuite au mec catatonique dont le zob d'amarrage étaient bandée non stop. Elles le sucèrent et l'engloutirent à deux jusqu'à l'éveiller et à provoquer en lui une tension sexuelle qu'on n'avait jamais vu. Il culbuta la première meuf à sa portée et lui défonça le rectum du cul à grand coup de mandrin, lui arrachant des cris de jouissance qui excitèrent l'autre encore plus. À son tour, il la saisit par la taille et la piqua profondément provoquant en elle la même douleur. C'était horrible. Elles semblaient incapables de s'arrêter. Aussitôt qu'une brèche était libre, une bouche s'y jetait. Aussitôt que la l'épée était hors du trou noir de ces bêtes, deux gorges s'y accrochaient comme pour la siffler complètement. Et à la fin, dans un cri rauque, l'étranger s'était vidé les boules sur leur visage. Les garde-malade obtinrent un congé de plusieurs jours et elles furent remplacées par d'autres qui se croyaient capables de résister au curieux virus du bel étranger.